Il y a trois ans, je me souviens avoir entendu un policier ixellois parler des graffitis qui recouvraient les murs de la commune : « Les crayons, moi, en fait, j’aime bien… ça m’embêterait de devoir demander à quelqu’un de les effacer ».
Il y a trois ans, je me souviens avoir entendu un policier ixellois parler des graffitis qui recouvraient les murs de la commune : « Les crayons, moi, en fait, j’aime bien… ça m’embêterait de devoir demander à quelqu’un de les effacer ».