Bruxelles après le 22 mars. Que dire, que faire ?

Quand survient un drame comme celui du 22 mars dernier, on a trop souvent la faiblesse de vouloir lui trouver une explication simple ; une cause unique dont on espère qu’elle suffira à expliquer et à anéantir le mal qui nous frappe. Pour certains c’est la folie d’un homme. Pour d’autres, la dangerosité d’une secte. Pour d’autres encore : la violence d’un Etat, la brutalité d’un conflit ou le cynisme d’un marchand de mort.

Il est en tous cas difficile de se rassurer en désignant une cause simple et évidente. S’il y en a une, elle nous est … inconnue. Cette brutalité, si lointaine, si proche – symptôme de l’échec des soi-disant « guerres contre le terrorisme » – frappe toutes les régions du globe. Et, elle est exercée par des extrémistes de tous bords.

La semaine dernière, Lux – un de nos deux dessinateurs attitrés – nous a offert ce dessin. Il m’a dit : « tu peux l’accompagner du texte de ton choix ». Alors, voilà, j’ai choisi ce texte clair, simple, écrit par un auteur inconnu et qui met selon moi le doigt sur quelque chose d’important.

Capture d’écran 2016-04-01 à 20.34.24

Capture d’écran 2016-04-04 à 20.22.00

Dessin : Lux

Vous voulez parler (ce ça ou d’autre chose) ? Alors, rejoignez-nous ce mardi 5 avril à 19.00 à la Brasserie l’Eden, Place Colignon. On discutera ensemble de la vie à Schaerbeek et de ce que l’on souhaite voir apparaître dans les prochains numéros de la Cité des ânes.

 

Capture d’écran 2016-04-03 à 10.21.52

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Par Mathieu

Comments

  1. Christian Labarre

    Merci à vous de m’informer si possible de vos réflexions et actions.
    Avec les salutations d’un (ex) Schaerbeekois.

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