Nestor De Tière est un écrivain belge d’expression néerlandaise (1856-1920). Il naît à Eine (près d’Audenarde) le 6 août 1856. Son père est charpentier de profession. Et, sa mère est férue de lecture, et lui transmet très tôt le goût de la littérature.
Vers 1856 – alors que Nestor n’a que huit ans – ils quittent le village natal et emménagent à Alost, puis quelques années plus tard à Gand, où Nestor est inscrit à l’Athénée. Mais, il s’avère être un élève distrait et indiscipliné : il n’apprécie guère les cours qui lui sont enseignés …
In zijn prilste jeugd was de jonge Nestor vijand van wetenschap en schoolgaan : vrij slenteren langs weide en veld, droomen langs de boorden der bochtige Schelde, kattekwaad uitrichten in bosschen en boomgaarden, dat waren zijn liefhebberijtjes; doch tevens had hij van zijne moeder geërfd de zucht naar lectuur. Al wat hem te huis onder de handen viel, las en herlas hij. http://www.corpustoneelkritiek.org/cti/html/1921-03-00_gille.html
A l’âge de dix-huit ans, Nestor écrit ses premiers textes, sentimentaux et mélancoliques. Au sortir de l’Athénée, il devient greffier (notarisklerk) et fait la connaissance d’August Hendrickx, qui l’encourage à écrire des oeuvres de théâtre. A l’âge de vingt-quatre ans, il part pour Bruxelles, afin de travailler pour le ministère de Chemins de fers. C’est là que commence sa carrière de dramaturge. Il publie, dans les années 1890, quelques-unes de ses oeuvres les plus connues : Gedichten (1891), Een spiegel (1891), Roze Kate (1893), Wilde Lea (1894).
Nestor décède à Forest, le 29 septembre 1920, à l’âge de soixante-quatre ans. Ses pièces sont encore jouées à l’heure actuelle : en septembre 2009, sa pièce « Honger » a par exemple été adaptée par Sarah Moeremans au RO Theater de Rotterdam.
http://www.slate.fr/culture/79192/vandalisation-tag-patrimoine-culturel
Ah, rigolo:)